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Pieds Nus est un outil au service de la transition des territoires, de leurs habitant-es et actrices/acteurs, dans un contexte d'effondrement selon le rapport Meadows.

Pour œuvrer, Pieds Nus s’appuie :

  • sur les principes scientifiques et holistiques de la permaculture, notamment avec la méthodologie de Design,
  • sur le développement de l'intelligence collective des organisations pour changer de paradigme et composer avec la complexité du vivant,
  • sur l’étude des représentations socio-spatiales des groupes,
  • sur l'émergence de l'innovation sociale,
  • sur l’étude de l’identité sociale et territoriale,
  • sur le concept d’attachement au lieu des individus. 

 

A la croisée de la recherche-action et de l’étude plus conventionnelle, Pieds Nus cherche, au-delà de la simple description de situations ou d’états des lieux, à accompagner la mise en action en stimulant collectivement l’émergence de nouvelles visions pour les territoires et leurs habitant-es.

A la pointe de l’innovation, Pieds Nus met en place des méthodologies et protocoles  rigoureux et statistiquement viables largement partagés par la communauté scientifique combinés avec des ressources systémiques telles que  la théorie U « décider à partir du futur émergent ». Il est ici question de travailler avec un autre paradigme, celui de l'inclusion des systèmes entre eux.

Pieds Nus est un outil au service de toute organisation sociale qui œuvre dans l’intérêt général (collectivités locales, entreprise d’économie sociale et solidaire, ONG, institution, établissement public, association, collectif).

 

Le travail de Pieds Nus s’articule autour de trois angles :

•  La compréhension des logiques sociales ; «Les individus et les groupes ont de bonne raison de faire ce qu’ils font ou de ne pas faire ce qu’ils pourraient ou devraient faire» (Flament, 1994).  L’étude des logiques sociales permet donc de mieux cerner les raisons qui poussent à l’action ou non, et les raisons pour lesquelles chacun prend position ou non. 

• L’orientation du changement social ; car dans des champs aussi divers que ceux de la santé, de l’environnement, ou de l‘économie, les acteurs sociaux sont régulièrement confrontés à la question du changement. Il s’agit alors d’encourager des changements de comportement débouchant sur l’adoption de nouvelles pratiques sociales.

• La communication ; comme le théorise Ghiglione (1986) dans son «contrat de communication», il existe une indispensable coopération entre source et audience. Pour l’émetteur d’un message, cette coopération mobilise la prise en compte des informations et des croyances intrinsèques au récepteur à propos de l’objet du message. La théorie des représentations sociales  apparait comme un outil particulièrement efficace lorsqu’il s’agit d'anticiper une action communicante, voire d'élaborer une stratégie de communication (Moliner et Guimelli, 2015).